(« ECONOMIE ET COVID-19 »):(« 3% DE CROISSANCE ATTENDU EN AFRIQUE EN « 2021 »!

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-(« LE SURTITRE, LE TITRE ET LA CONCLUSION » SONT DE « MEDIAS MIROIR PARIS »)-(« Une Analyse de « ANTOINE Hervé »-« Rédacteur en chef -« Afrique Agricuture »-PARIS)-…-L’Afrique devrait connaitre un rebond de sa croissance de (3%) en (2021) si les gouvernements parviennent à juguler la propagation de la pandémie du covid-19.C’est ce que prévoit la banque africaine du développement (BAD) dans son supplément (« perspectives économiques » en Afrique 2020″).En Janvier, la (BAD) prévoyait une croissance de (4,1%) en (2021).
-Résultat, au total, l’afrique (« pourrait perdre entre (145,5 milliards) et (189,7 milliards de dollars américains) de croissance en (2020).Sans compter que dans le pire des scénarios, si le covid-19 n’est pas contenu, cette croissance pourrait chuter de (3,4%).

-Pour rouvrir les économies, les décideurs politiques devraient adopter une approche graduelle qui évalue soigneusement les compromis entre le redemarrage trop rapide de l’activité économique et la préservation de la santé des populations »), explique « Charles Lekeya Lufumpa », économiste en chef par intérim à la BAD.Sans compter que le continent africain reste vulnérable à d’autres menaces, comme les criquets en Afrique de l’est, ou les évènements climatiques extrêmes.

-Au final, face à cela, les décideurs politique africains doivent agir rapidement pour atténuer l’impact de la crise sur les groupes vulnérables, grâce à des mesures de protection sociale ciblées, explique « Hanan Morsy », directrice du département des politiques macroéconomiques de la (BAD).Ils doivent renforcer l’adhésion du public et s’attaquer aux goulets d’étranglement structurels qui rendent le continent plus vulnérable aux chocs futurs »).Entendez par là toutes le infrstructures qui manqent tant au continent:routes,rails,eau, santé, électricité…

-Les auteurs du rapport évoquent des mesures de politique monétaire pour atténuer les effets de l’insuffisance de liquidités et le risques d’insolvabilité.Ainsi que des mesures budgétaires pour limiter les impacts économiques de la pandémie du coronvirus.

-(« Sortir rapidement du « franc cfa » colonial sera une bouffée d’oxygène dans la gestion de la politique monétaire ouest africaine, surtout quand les ouest africains seront maîtres de leur destin monétaire »)!