(« Weekend-Tribute A ERNESTO DJEDJE »):(« QUAND « JUSTIN STANISLAS » LUI DEDIE LE « BEST HOMMAGE!

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-(« Par Yves T Bouazo »)

-Le 9 (Juin), au petit matin, la nouvelle du décès du (« Maestro ») de la musique ivoirienne, le (« Gnoantré national », « l’épervier »), se répand comme une traînée de poudre sur l’étendue du territoire ivoirien:C’est un deuil national sans précédent!
-Mais à (Paris) sur les bords de la seine, l’un de ses meilleurs amis, l’artiste (« Justin Stanislas ») nous donne son témoignage personnel:(« J’étais chez moi à la maison et on est venu m’annoncer la triste nouvelle en ces termes:(« il parait que ton frère est mort!Je rétorque:Quel frère?(« Ernesto Djédjé »)!Je n’ai pas pu contenir mes larmes et l’inspiration a été spontanée!En fait,la triste nouvelle m’a plongé dans mes réminiscences car il est venu à (Paris) , un an auparavant et m’a parlé de son projet musical inhérent à son nouvel opus dédié au président de l’assemblée nationale ivoirienne , (Henri konan bédié), à l’époque des faits!J’étais un peu sceptique sur ce projet musical aux relents politisés!

-Il poursuit:(« Du coup, les notes de l’hommage appuyé à (Ernesto Djédjé) me sont venues de façon spontanée!Retenons surtout que dans cette ballade-hommage à (Ernesto djédjé), l’artiste (Justin Stanislas) s’abreuve à la source de l’ésotérisme de la langue (« bété ») du centre- ouest ivoirien, fait de synecdoques, métaphores, proverbes et de métonymies:l’anecdote du dos et du ventre dans le registre culturel (« bété ») est évoqué pour traduire, via le poids des mots la disparition prématurée d’un frère de longue date :D’autre part , (Justin Stanislas) chante ses tripes, en pleurant un frère qu’il a conseillé et qui en définitive a été rattrapé par l’obstination!

-Au final, tous les observateurs du paysage culturel ivoirien reconnaissent que c’est le meilleur hommage appuyé au (« roi du ziglibithy) en (Cote d’ivoire)!