_ »Par la rédaction »-Photo:Force française depuis 1960 dans le quartier de « Port-bouet », à deux pas de l’aéroport « Félix Houphouet Boigny » d’Abidjan en Côte d’ivoire.Le « Surtitre, Titre et la Conclusion » à partir de « Selon des chiffres récents sont de « Médias Miroir »-Paris »;
_ »L’organe de presse français « Marianne » écrit dans son texte introductif(chapô) ceci:(« Alors que le camp militaire de « Port-bouet » était une rampe de lancement importante de l’ex mission française au Sahel, Paris et Abidjan doivent désormais repenser une coopération militaire qui remonte à l’indépendance ».
A quelques encablures de l’aéroport d’Abidjan(capitale économique ivoirienne)au bord de la lagune, le camp militaire de « Port-bouet » est une enclave française historique.L’incessant tohu-bohu de la capitale ivoirienne contraste ici avec les rangées de palmiers bien ordonnées que les soldats sillonnent le plus souvent à vélo.L’ambiance est détendue.Mais il ne faut pas oublier que le pays peut se transformer en vrai coupe-gorge comme lors de la crise de 2002, rappelle le colonel Eric, « numéro 2 » des forces françaises en Côte d’ivoire(FFCI).
A l’époque des forces rebelles de l’intérieur, renforcées par des éléments venus du « Burkina Faso », tentent de renverser le président « Gbagbo ».Le pays est coupé en 2,et,sous le mandat de L’ONU, l’opération « Licorne » française(2002-2005) devient une force d’interposition,avec « 5000 soldats » au plus fort du déploiement.
_ »20 ans » plus tard, »950″ militaires sont toujours stationnés à « Port-bouet », formant le « 2ème » contingent français en Afrique après la base de « Djibouti ».
Selon les mots de l’actuel chef d’état ivoirien, »Ouattara »,ce changement de paradigme, fort du départ de la force française du Mali, a créé un vide dans la région car, en Côte d’ivoire, les liens bilatéraux avec la France restent très forts.Ils remontent à la signature des accords de défense lors de l’indépendance en 1960.Le texte stipulait un soutien militaire inconditionnel au régime en place.
Ce fut le cas en 2002, lorsque la crise politique ivoirienne a menacé de dégérer en guerre civile.Appelée à la rescousse par « Laurent Gbagbo », la France s’interposera militairement.
_En 2011, »Nicolas Sarkozy » vient cette fois-ci au secours de son ami « Alassane Ouattara », dont « Laurent Gbagbo » refuse de reconnaitre l’élection.
_Ce dernier est capturé dans sa résidence par les forces « pro-Ouattara »,ce qui met fin à la « bataille d’Abidjan ».Les forces spéciales françaises l’exfiltrent et il sera transféré à la cour pénale de la Haye,où il sera finalement acquitté « 10 ans »plus tard!
_ »Selon des chiffres récents, la crise post-électorale ivoirienne aurait fait environ « 100.000 morts « , selon la croix rouge, parmi lesquels figurent environ »2000 étudiants » jeunes patriotes!A quand le devoir de mémoire?Au final,que nous réserve « 2025 »?