« Photo »:Le Stade Ebimpé Alllassane Ouattara qui a abrité la finale de la CAN 2023-« Le Surtitre , Titre et Les ajouts » sont de « Médias Miroir-Paris »(,,,)–Depuis quelques temps,le problème central de la dette abyssale ivoirienne fait débat aussi bien dans les médias qu’à l’Assemblée nationale ivoirienne:Factuellement,une dette qui a été quasiment multipliée par 3 depuis 2011 soit « 25000 milliards de fcfa » en 2024.En Côte d’Ivoire voire en Afrique l’interférence entre dette et souveraineté resurgit,dans certains contextes de communication…
-« Monde Afrique » affirme que la Côte d’Ivoire a investi « 3000 milliards de FCFA » pour se doter d’infrastructures d’envergure dont 5 stades répondant aux meilleurs standards internationaux.De nouvelles routes ont été également construites à Abidjan la capitale économiques et dans toutes les 4 autres villes recevant la compétition,afin d’y rendre la compétition fluide,notamment à Abidjan où les embouteillages sont écoeurante aux heures de pointe.
-« La Côte d’Ivoire au point de départ(PPTE)!
Au total,la Côte d’Ivoire qui avait bénéficié de 25% d’allègement de sa dette est toujours au point de départ,accuse Ahoua Don Mello,technocrate,membre influent des « Brics », « pour qui « cela aurait dû permettre d’affecter les ressources propres de l’état à l’éducation et à la santé.Or les ressources propres ne suffisent pas aujourd’hui à couvrir les dépenses courantes,assène t-il.La dette n’à donc jamais été autant un boulet que maintenant puisque notre pays Vit à crédit »,constaté Séraphin Prao et qu’il vit sous perfusion.Dans le même ordre d’idées,Koné Katinan,économiste membre du PPACI fustige une économie ivoirienne désarticulée sur « Life Tv » à Abidjan en Avril.
-« Au final,La question qui nous taraude est la suivante:Comment un pays t doté de ressources naturelles conséquentes,peut-il s’endetter à une vitesse vertigineuse?La Côte d’Ivoire est-il un pays souverain, fort de cette épée de Damoclès liée à sa dette exponentielle?Notons que le pays fait face aussi à une inflation galopante sans précédent et les victimes expiatoires sont les masses populaires d’Adjamé à Attiécoubé en passant par Yopougon,où la mort totale sévit.L’ivoirien lambda est donc devenu un cabri mort qui n’a pas peur de couteau…