-« Par la Rédaction »-« Collaboration »: »Fatim Djédjé »-« Photo »: »Ernesto djédjé » en lunettes et son oncle paternel, frère à son père biologique « Seck », le jour de la fête musulmane de la « tabaski »-« Aid El kébir », fête du mouton dans une mosquée en république centrafricaine.
-« Rappel des faits »:
-Nous achevons ce Dossier spécial passionnant et surréaliste consacré aux origines sénégalaises de la légende vivante de la musique africaine, « Ernesto Djédjé », par ce (4ème) et dernier chapitre qui met en exergue la conviction religieuse musulmane de l’artiste!
-Dans les années 60, après avoir retrouvé les traces de sa lignée paternelle, « Ernesto Djédjé » noue désormais des liens forts avec sa famille élargie, notamment ses demi frères et ses oncles paternels.
Mieux, il se convertit à la religion musulmane qui est la religion de son père biologique,le sénégalais « Seck » , (« Imam »musulman ») à « Bangui », capitale centrafricaine!Lors de la fête de « tabaski »,(« Aid el Kébir », fête du mouton, rites et traditions musulmanes) , il se rend à la mosquée en Centrafrique, aux côtés de son oncle paternel!Notons au passage que l’artiste « Ernesto Djédjé » a aussi convolé en premières noces avec l’égyptienne « Soher Gala »,de confession musulmane, rencontrée à Paris et devenue professeure de lettres modernes en Côte d’ivoire à partir des années 70, notamment dans les villes ivoiriennes de » Daloa »,et « Bingerville »..
-Au final, sur son « 33 » tours à succès (« Ziboté ») sorti en 1977, il lui a dédiée un tube langoureux aux relents de (« Jazz) intitulé (« Lola ») qui est le diminutif affectif de son prénom.