-(Analyse)-« Par la Rédaction »-« le Titre, le chapô(texte introductif) et la conclusion » sont de « Médias Miroir »(Paris).
-La « Chine » a déjà pris sa place dans le concert des nations du monde et impose sa puissance sur les 4 continents, mieux l’inde et l’afrique n’ont pas de choix, ils doivent s’inscrire dans la dynamique chinoise dans les décennies à venir!
-Dans leur ouvrage en synergie,(« Chindiafrique »), les deux éconmistes français « Jean-Joseph Boillot et Stanislas Dembenski » font la lumière sur les (3) grands ensembles qui sont la « Chine », « l’inde » et « l’afrique » à la page (9):
-(« Le paradoxe fondamental de ces années charnières(1980-2010) est que les pays en développement, qui devraient en théorie importer l’épargne des pays riches, pour financer leurs investissements de rattrapage, en deviennent en réalité les créanciers nets (excédentaires) et financent la consommation à crédit des « Etats-unis et de l’europe ».Jusqu’au jour où, comme la corde tient le pendu, les grands pays émergents s’invitent à la table des décideurs, ce qui a été bien symbolisé par la transformation du club des pays riches:le (G7 en G20) lors du sommet de Londres en « Décembre 2008 ».
-(« L’entrée fracassante de L’Afrique dans le club des pays nantis »)!
-L’afrique fait également partie du club comme le montre la présence de « l’afrique du sud » à ces sommets où elle represente l’ensemble du continent noir.Ces nouveaux joueurs s’engagent désormais dans une nouvelle ère de redistribution du pouvoir politique et géopolitique qui n’est finalement que la consécration d’une redistribution des cartes mondiales dans les domaines humain, économique, technologique et des ressources naturelles.
-Dans ce nouveau monde en formation, tous les pays émergents aspirent à un reéquilibrage de la prospérité et de la puissance.Ils savent bien que le monde tremble devant (« l’éléphant ») et piétine la (« fourmi »), comme le dit un proverbe indien.Ils se sont donc lancés dans la mondialisation avec le secret espoir de retrouver leur rang dans le concert des nations.
-Certaines puissances régionales comme le « Brésil » s’inscrivent déjà pleinement dans cette logique, et d’autres comme « l’indonésie » et le « Mexique » aspirent aussi.La « Russie » et le « Japon », de leur côté, font tout pour conserver une influence mondiale, malgré une déprime démographique marquée.Mais notre thèse, la (2ème) de ce livre(« Chindiafrique »), la Chine, l’inde et l’afrique feront le monde de demain »), est que ce sont ces (3) grands ensembles:(« Chine, Inde, Afrique »), des masses continentales et humaines incomparables, au dynamisme certain, qui vont jouer un rôle clé d’ici (2030)!C’est-à-dire à l’horizon d’une seule génération.Et cela compte tenu de (3) facteurs combinés.D’abord, celui d’un effet démographique de masse (1,5 miliards d’habitants en 2030), avec tous ses aspects cuturels et sociétaux, sans oublier de conséquentes diasporas mondiales.Ensuite, l’enchaînement surpenant de leurs temps économiques, avec une sorte de séquence de leur décollage partant de la « Chine » pour gagner « l’Inde » et atteindre enfin « l’Afrique », plus récemment.(3ème) facteur clé, les relations triangulaires au sein de cette (« Cghindiafrique), appelées à jouer un rôle structurant dans le monde de demain comme le montre amplement notre enquête dans les domaines technologiques et de (« business models »).
-C’est d’ailleurs ce « 3ème » facteur clé qui pousse à appréhender « l’Afrique » comme un tout en dépit de son incroyable diversité.Il suffit de travailler avec des africains pour comprendre qu’un même sentiment d’appartenance s’imprime dans les mentalités dès lors qu’il s’agit de penser l’avenir face au reste du monde.
-(« Au final, le panafricanisme doit être économique, social, culturel et politique pour permettre à la dynamiqe jeunesse panafricaine de jouir de réelles perspectives d’avenir en Afrique, au lieu de trouver la mort contre son gré, dans des embarcations de fortune en mer méditerranée… »)