« FEEDBACK-DEVOIR DE MEMOIRE: »LES COULISSES DU CONFLIT IVOIRIEN DE 2002 A 2007!

yes we can

-« Un Dossier spécial de la « Rédaction »-« Par Yves T Bouazo-Directeur de la publication et de la rédaction ».(« Le titre ,surtitre, les découpages sont de « Médias Miroir »-(« Photo »):Laurent Gaggbo.

-Au moment où des tractations vont bon train pour le retour prochain de « Laurent Gbagbo » au bercail, surtout dans une dynamique d’apaisement et de réconciliation ivoirienne, nous faisons un « feedback » sur les racines de la conflictualité socio-politique ivoirienne du (19 septembre 2002 à l’année 2007, accords de « Ouagadougou » au « Burkina Faso ».

-On aura donc ergoté sur ce qui s’est passé en Côte d’ivoire à partir de (2002) via des rumeurs persistantes étayées par une lutte informationnelle qui ne disait pas son nom, nous revenons en tant que organe de de presse responsable à la véracité factuelle, épine dorsale du journalisme professionnel contemporain!

-Voici de nouveau le témoignage de l’ex sécrétaire international du parti socialiste français , »Guy Labertit » via un ouvrage surréaliste qui s’abreuve à la source de faits avérés.
-Notons au passage que « Guy Labertit » que nous avons contacté par mail, nous a confirmé qu’il passe désormais une retraite paisible en province française.Repose-toi car tu en as besoin, fidèle de « Laurent Gbagbo » parmi quelques fidèles parmi lesquels figurent: »Lionel Jospin », « Roland Dumas », « feu Henri Emmanuelli » pour ne citer que ces leaders socialistes français.

-Pour information, « Guy Labertit » a écrit de sa main à la première page de son ouvrage(« les coulisses du conflit ivoirien ») dédicacé le (« 21 Novembre 2009 ») à Paris ceci, dans un grand complexe hôtelier:(« A Yves Tapay », correspondant à Paris de « notre voie »,(quotidien ivoirien) et Directeur de la rédaction du quotidien numérique (Directabidjan) , ce témoignage avec ma fraternelle amitié et bon courage pour ce beau et exigeant métier de journaliste »).

-(11 ans) plus tard, je continue avec passion ce métier noble malgré le fait qu’être proche de la gauche démocratique ivoirienne en occident serait serait synonyme de (« tête de turc »)!La diabolisation est passée par là via une lutte informationnelle acharnée et bien orientée!Nous continuons d’être nous-mêmes en évitant d’être ce que les autres veulent que nous soyons, mieux nous ne sommes pas « anti français » comme veulent le faire croire une certaine propagande bien orientée depuis deux décennies mais sommes contre une certaine politique étrangère hexagonale menée en Afrique francophone(dans l’ancien empire colonial français) depuis des décennies, que nous jugeons clientéliste et partisane!Mieux, la vérité n’est jamais isolée car elle finit toujours par éclater au grand jour car beaucoup de citoyens français partagent en (2020) notre approche objective qui est recevable dans le fond!!

-(« Voici ce que écrit l’auteur « Guy Labertit » dans le prologue de son ouvrage (« les coulises du conflit ivoirien »):
-Etrange référence à la Côte d’ivoire en ce deuxième jour de (2005), le titre du dossier sur la chute de l’empire français étant surmonté d’un (« il ya 50 ans, une histoire tragique et nostalgique »)…

-Suite à l’échec d’un coup d’état visant à renverser dans la nuit du (« 18 au 19 Septembre 2002 »), le président ivoirien « Laurent Gbagbo », élu (2) ans plus tôt, le chef de l’état français « Jacques Chirac » (à l’époque des faits), a dépéché une force d’intervention de plusieurs milliers d’hommes, dite « force licorne ».

-Histoire tragique et nostalgique »…Que s’est-il passé dans les premiers jours de Novembre (2004) à « Bouaké », au coeur de la Côte d’ivoire, pays d’afrique francophone en pleines convulsions, comme d’autres de ce continent depuis (15) ans, mais où (9) soldats français, de la « force licorne », sont morts, le (Samedi 6 Novembre 2004) dans le cadre d’une mission qui, depuis plus de (2) ans, se veut officiellement de paix?

-Mon séjour à « Abidjan », capitale économique ivoirienne, du (7 au 11 Décembre 2004), a contribué à m’éclairer, j’y revienrai plus tard, sur le sens des évènements très graves qui ont, un mois plus tôt, plongé dans le plus grand désarroi une majorité d’ivoiriens, attachée à notre histoire commune et parfois contradictoire.

-(« La Lutte informationelle voire une Guerre des médias français ») qui ne disait pas son nom de « 2002 à 2007 »!

-Les médias français ont alors respectueusement fait consensus sur le deuil qui frappait notre pays.Mais ils ont ignoré, relais peu scrupuleux de la (« grande muette ») et de la ministre de la défense « Michèle Alliot Marie », les dizaines de civils ivoiriens tombés sous les balles de l’armée française dans les (3) journées qui ont suivi la mort des éléments de la « force licorne ».

-Peu après mon retour de Côte d’ivoire, un « Mercredi » matin de la « mi-décembre » (2004), un échange téléphonique avec le conseiller aux affaires africaines de l’élysée, »Michel de Bonnecorse », ponctué d’un(« de toute façon, les ivoiriens sont des menteurs! ») ne m’a pas rassuré sur la suite des évènements.L’impulsif et affectif président Jacques Chrirac a rompu avec le président ivoirien « Laurent Gbagbo ».Le grand frère madré n’a pas mis dans sa poche ce président africain, rond, mais ombrageux, qui entend traiter d’égal à égal.Pour « Jacques Chirac », si la Côte d’ivoire doit sortir de la crise, ce sera sans lui…

-(« Mieux, le duel politique « Jacques Chirac-Laurent Gbagbo » venait de débuter »…