(« TRIBUTE A « ERNESTO DJEDJE »):(« LES ANNEES 70 A « PARIS » DANS LE « 13EME » ARRONDISSEMENT PARISIEN

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-(« Par Yves T Bouazo »)-(« PHOTO »: »Ernesto Djédjé »,les années 70)!

-Selon nos sources recoupées et évaluées dans les années (70), (Ernesto Djédjé) qui suivait des cours intensifs en communication musicale , a habité respectivement à la (« Meeci »), (maison des étudiants ivoiriens) ,acheté par le président ivoirien (« Félix houphouet boign »), donc propriété immobilière ivoirienne, située dans le (13ème) arrondissement parisien!Puis, il a aussi déménagé momentanément à (« Joinville-le-pont ») , près de paris dans le département du val-de-marne) chez son mentor , l’artiste camerounais de notorieté (Manu Dibango), aujourdhui décédé pendant la foudroyante pandémie du (covid-19)!

-(« L’idylle d’Ernesto Djédjé » avec l’égyptienne « Soher Galal » dans les années (70) à (Paris)!

-La vie (« d’Ernesto Djédjé ») prend un autre tournant lorsqu’il rencontre à (Paris) celle qui deviendra la mère de ses deux premiers enfants , l’égyptienne (« Soher Galal »), étudiante en lettres modernes à (Paris), à l’époque des faits!

-Au final, ils retourneront ensemble dans sa Cote d’ivoire natal̂e, sous les tropiques et elle devient professeure de lettres modernes tour à tour au (Lycée 1) de (Daloa)(3ème ville importante ivoirienne), puis au (Lycée de Bingerville),prés de la capitale économique ivoirienne (Abidjan).!

-Notons que (« Ernesto Djédjé » lui dédiera une ballade aux relents romantiques et (jazz) intitulée(« Lola ») en (1977) dont la profondeur de la sémantique parle d’elle-même:(traduction de la ballade (« Lola ») de la langue (« bété ») du centre-ouest ivoirien en français):(« Ne t’en va pas chérie, ne me me quitte pas si tu ne veux pas que je m’emporte en perdant tout mes sens car mon coeur te tient tel un (« serpent-pithon ») aux vertus guerrières qui tient son coeur »)!Il n’y a pas mieux au niveau de cette stylistique qui s’abreuve à la source de l’ésotérisme romantique en langue (« bété »), mieux la comparaison imagée au (« serpent-pithon) guerrier confère à cette chanson dans le registre culturel (« bété) du centre-ouest ivoirien tout son sens et ses valeurs poétiques sans précédent:(« Ernesto Djédjé ») prouve bien à travers cette ballade de langueur qu’il est un poète émérite!

-« Adieu » l’artiste, le (« Maestro ») qui n’a rien à voir avec les chansonniers ivoiriens de la nouvelle génération à (Paris), plus abonnés aux « soirées-dédicaces communautaires à la salle parisienne( Moulin basset) à (Saint-denis), sans lorgner véritablement vers une envergure internationale, dans un contexte global de dialogue culturel musical, surtout que la planète-terre est subitement devenue un village!