-« Un Dossier spécial de « Yves T Bouazo »-« Photo »: »Ernesto Djédjé empoisonné et décédé à « Yamoussoukro » le 9 Juin 1983.
-Il ya 3 semaines, nous donnions un écho retentissant au récit poignant et croustillant du journaliste français émérite « Christophe Hondelate » « d’Europe 1 », qui nous replongeait dans les souvenirs obscurs de l’époque des « Sorcières françaises-empoisonneuses »: »Rachelle Gatier »,l’empoisonneuse de « 1902 » qui avait empoisonné tour à tour sa grande mère, son beau frère et son frère.
-Notons au passage que la France a connu cette époque obscure des sorciers et sorcières-empoisonneuses guidées par l’esprit du diable.Pis, la région française-Normandie » est considérée historiquement comme le fief de la sorcellerie française via les « Vikings », selon des témoignages probants.
-Revenons à « Ernesto Djédjé », roi du « Ziglibithy »(rythme ivoirien authentique), nous sommes en Juin 1983,il est au firmament de sa fulgurante carrière musicale démarrée sur des chapeaux de roue, sous le soleil des indépendances africaines:En ce mois de Juin 1983, il revient d’une tournée musicale au « Burkina faso », où il est adulé depuis quelques années!Il fait une escale dans la nouvelle capitale politique et administratrive « Yamoussoukro », avant de mettre le cap sur « Abidjan », capitale économique ivoirienne.
-Logé à l’hôtel, il fréquente l’une de ses conquêtes féminines nommée « Chantale » d’ethnie « bhété », originaire de la ville ivoirienne « d’Issia » ivoirienne qui lui présente à l’une de ses connaissances qui est banquier de profession.
-Le 8 Juin, après avoir mangé un plat confectionné par « Chantale », il est pris de vomissements récurrents aigus.Il est transporté d’urgence au « Chr » (centre hospitalier régional) de « Yamoussoukro », où il agonise jusqu’au petit matin.Ironie du sort, celle qui l’a empoisonné, a été aussi rattrapé par le jugement dernier, quelques mois plus tard, une loi de la « karma » qui ne dit pas son nom…Elle trouve la mort suite à un avortement qui s’est mal passé à Abidjan!
-La Côte d’ivoire est en deuil car « Ernesto Djédjé » était l’un des artistes préférés du président ivoirien « Félix houphouet Boigny », à l’époque des faits.En outre, « Ernesto Djédjé » a eu aussi la faveur des tapis rouges présidentiels en Afrique:En 1978 au « Libéria » sous l’ère du président « William Tolbert », et en 1979, sous l’ère de « Sékou touré » en « Guinée »!