Paris by Night -Interview Exclusive Avec la « Queen du Ziglibithy Soft », Fabriss-Reine Atitoh!

387085485_977503180220247_4126114792884132143_n

-« Interview Exclusive » avec l’artiste ivoirienne Fabriss-Reine Atitoh.(10 Ans de Carrière musicale). »Photo »:L’artiste Ivoirienne Fabriss-Reine Atitoh qui célèbre ses 10 ans de carrière musicale le 14 Octobre à Noisy le sec,près de Paris.

-Fabriss-Reine Atitoh est une artiste ivoirienne chorégraphe,chanteuse ,compositrice et interprète qui a le vent en poupe au sein de la diaspora en Europe,depuis quelques années.Le 14 Octobre prochain,elle souffle en grande pompe les 10 bougies d’une carrière musicale démarrée sur des chapeaux de roue en Avril 2013,fort de mon premier opus intitulé « Béhi » littéralement en langue « bhété » du centre-ouest ivoirien (chéri).

-Nous l’avons rencontrée,bref entretien!

-(MM):Vous célébrez en grande pompe 10 ans de carrière musicale le 14 Octobre dans un « Show-Live » à la salle « Mozaik sise au 11 rue Maximillien Robespierre à Noisy le sec,près de Paris.Quel bilan partiel faites-vous de votre carrière musicale?

-(FA):Je crois sincèrement que c’est un bilan positif malgré des débuts difficiles.Mais j’avais un profil artistique en tant que chorégraphe de formation, mieux j’ai été motivée par l’artiste ivoirien Billy Gad dans le processus de l’enregistrement de ma première œuvre discographique intitulée « Béhi » en Avril 2013,avec les arrangements de l’émérite ivoirien David Tayoraud.

-(MM):D’où vient votre inspiration musicale?

-(FA):J’ai été inspirée par le roi du Ziglibithy, »Ernesto Djédjé » et « Gadji Céli » qui est le parrain artistique de la célébration festive de mes 10 ans de carrière.Pour moi,l’artiste Ernesto Djédjé n’a pas été suffisamment honoré à la mesure de son talent artistique en Côte d’ivoire.La reconnaissance artistique d’Ernesto Djédjé me semble tardive.J’ai découvert davantage Ernesto Djédjé dans mon environnement familial.En tant que chorégraphe de formation,je veux faire un clin d’oeil furtif à cette danse authentique ivoirienne,le « Ziglibithy »,en tenant compte de la mondialisation culturelle actuelle.C’est donc à dessein que j’ai interpreté l’un des tubes cultes intitulé « Golozo » d’Ernesto Djédjé dans mon nouvel opus ,surtout en y apportant ma touche personnelle.

-(MM):Comment vous vous positionnez musicalement au sein de la diaspora en Europe?

-(FA):Depuis 2013,j’ai abattu un gros travail artistique via des spectacles en Live en France, Belgique,Londres.Mon challenge majeur à relever est de me positionner à Abidjan,carrefour incontestable du Showbusiness international.Mon équipe s’attèle à cela car aujourd’hui le succès musical repose sur une équipe dynamique.

-(MM):Votre dernier mot!

-(FA):J’invite tous les mélomanes africains et occidentaux à venir découvrir mon concept novateur « le Ziglibithy Soft ».Je remercie infiniment ma maison de Production « AMB » de Paris fort du soutien matériel et financier, l’artiste Camerounais « Elgo Kamer » qui a décidé » de me soutenir spontanément le 14 Octobre prochain.Merci infiniment à votre quotidien Numérique international « Médias Miroir » pour sa contribution inestimable à la promotion internationale de la culture ivoirienne et panafricaine,notamment la culture du monde à l’international.

-Propos Recueillis à Paris par Yves T BouazO.