(France-Afrique): »Les Relations Franco-Africaines à Venir sous Le « 2ème » Quinquennat de « Macron »!

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-« Analyse »-« Par Yves T Bouazo ».

-Lorsqu’il a accédé au pouvoir en France en 2017, à 39 ans réunissant plus de « 1500 » parrainages d’élus français, alors qu’on lui demandait seulement « 500 » parrainages, « Emmanuel Macron » a créé un véritable électrochoc dans les arcanes de la politique française, sous la 5ème république, en défiant les partis traditionnels!5 ans plus tard ,il a davantage fragilisé ces partis qui n’ont même pas pu obtenir plus de (5%) des suffrages des citoyens français aux dernières joutes présidentielles…

-Notons que dans ses rapports avec l’ancien empire colonial français, il a opté pour une rupture pragmatique en associant pour la première fois la société civile africaine francophone,notamment la jeunesse africaine francophone dynamique au sommet « France-Afrique », au lieu de « Françafrique » dans la ville française de Montpellier(sud de la France), en lieu et place du clientélisme « françafricain » désuet, dans lequel intérêts africains locaux et français métropolitains continuaient de s’interférer, depuis le soleil des indépendances qui a brillé sur l’Afrique , au début des années 60…

-Dans son dernier quinquennat qui débute maintenant, il compte créer un fonds d’innovation pour la démocratie en Afrique francophone, dans lequel l’intelligentsia africaine francophone dans la diaspora aura sa partition à jouer via « Achille M’bembé », éminent intellectuel, historien et politologue camerounais émérite à qui le président français a assigné un travail d’analyse et de synthèse sur les nouveaux rapports franco-africains.D’autres matières grises apporteront dans une dynamique de synergie leur soutien à ce fonds d’innovation pour la démocratie qui sera soutenu par la construction d’une maison des membres africains à Paris, sous peu.

-Au final, nous jouerons notre rôle au moment opportun via une communication d’envergure, en tant que média responsable car la presse est inscrite dans le dispositif démocratique d’une nation, mieux c’est un contre-pouvoir qui ne dit pas son nom!