-« Décryptage »-« Par Yves T Bouazo »-Directeur de la publication et de la rédaction. »Photo »:Les classes populaires dans la prestigieuse école supérieure française « Sciences po » à Paris.
-En nous fondant sur le titre évocateur et les idées forces de l’ouvrage « L’école française n’est pas faite pour les Pauvres » de l’auteur « Jean-paul Delahaye », nous arrivons à aux postulats suivants , dans une spirale de décryptage:
-1-Les élèves et lycées issus des couches populaires modestes doivent avoir désormais la latitude absolue de décider de leur avenir intellectuel car l’instruction doit être démocratique dans un pays de type démocratique, pays du siècles des lumières, signe de connaissance.
-2-La réussite intellectuelle des élèves et lycéens issus des couches populaires modestes ne doit pas être confisquée plus par des mains obscures du système, sous le prisme d’orientations abusives au forceps, dans des filières ou formations au rabais qui sont des mouroirs sociaux-professionnels.
-3-La réussite scolaire des élèves et lycéens issus des couches populaires modestes doit être désormais liée au mérite voire à la méritocratie et non à l’origine,mieux l’origine ne doit plus peser sur leur réussite scolaire.
-4-Les élèves et lycées issus des couches populaires modestes doivent avoir désormais le droit absolu de choisir des filières en osmose avec leurs aspirations profondes et plus tard un métier dans lequel ils pourront jouir d’une reconnaissance sociale doublée d’un respect.
-5-Au final, le racisme structurel décrié par le nouveau ministre de l’éducation nationale, « PAP N’diaye » doit être désormais renvoyé aux calendes grecques, car la connaissance intellectuelle doit être démocratique, dans le pays de la liberté, de l’égalité et de la fraternité au nom de l’égalité des chances!