-(« ANALYSE »):(« L’HEURE DE L’AFRIQUE » (« PAR KHALED IGUE »)-(« La Conclusion et les ajouts » sont de notre « Rédaction »(Médias Miroir-Paris.)
-Sur les (1,216) milliards d’habitants que compte le continent a&fricain, (420) millions sont décrits par la banque mondiale comme « extrêmement pauvres ».C’est-à-dire vivant avec moins de (1,90) dollar par jour.(43%) du continent africain est en situation très précaire.Mais la pauvreté sur le continent n’est pas que monétaire:Elle se décrit aussi en matière de déficit éducatif, de manque d’accès aux soins et aux droits élémentaires.Pourtant, l’afrique est un territoire riche en ressources naturelles et humaines.Un continent qu’il faut apprendre à exploiter.
-C’est ce que veut nous faire comprendre (« Khaled Igué ») dans son essai intitulé (« L’heure de l’afrique »).Né en (1983) au « Bénin », pays de l’afrique de l’ouest francophone autrefois labellisé come le quartier latin de l’afrique francophone de l’ouest, ce jeune banquier d’affaires et de dévelppement ne se contente pas de poser le diagnostic.Cet ex-cadre de l’industrie des énergies et du conseil en stratégie, propose des solutions concrètes pour permettre un développement durable et inclusif, en s’appuyant sur le potentiel africain.
-Parmi les propositions de celui qui est aussi le prészident-fondateur du (« think tank »)(« club 2030 Afrique »), figurent quelques pages sur l’agriculture.Il s’agit pour l’auteur de développer une agriculture (« raisonnée », durable et respectueuse de l’environnement »).Ses solutions s’appellent tecyhnologies numériques, carte de fertilté du sol, laboratoires de recherche et financement accru.Ne manquant pas de rappeler que seulement (10%) des pays africains consacrent (10%) de budget à l’agriculture, selon lesc accords de (Maputo), « Igué » prône aussi l’investissement dans les infrastructures agroalimentaires(transport, stockage,transformation).
-Ce qui fait dire au jeune béninois élu (« Young global leader ») par le « World Economic Forum of Davos » en (2018), que (« l’afrique pourrait nourrir le monde, mais ne parvient pas à se nourrir elle-même »)!
-Pourtant, l’agriculture rerésente un tiers du (PIB) du continent et fait vivre (70%) de la population africaine.
-(« Au final, selon notre approche tout est une question de volonté politique soutenue par des réformes structurelles courageuses et novatrices »)!