(« UPF »): »LE CONFRERE « KHALED DRARENI »,JOURNALISTE ALGERIEN JUGE EN APPEL EN « ALGERIE »!

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_En Collaboration étroite avec « L’UPF »(Union internationale des Journalistes de presse francophone).(« Le Surtitre, titre et la conclusion » sont de (« Médias Miroir »)-(« photo »): »Khaled Drareni », journaliste algérien emprisonné et jugé en appel à « Alger » depuis ce mardi 8 septembre 2020.

-(« Rappel des faits »):

Le procès en appel du confrère « Khaled Drareni »,journaliste algérien a repris à ALGER,capitale algérienne le mardi (8) septembre dernier.A l’heure de l’écriture de ces lignes,les plaidoyers se poursuivaient dans un contexte de tension entre les forces de l’ordre algériennes et les journalistes venus en masse couvrir en masse cet évènement inédit.
-Ces derniers ont été interdits d’accès à la salle d’audience pour suivre le déroulement du procès.Dans le même temps, la mobilisation se poursuit à travers le monde pour demander la libération du journaliste algérien.Notons que le directeur du site d’information (« Casbah tribune ») également , représentant de (L’UPF) en « Algérie », correspondant en « Algérie » pour la chaîne francophone (« TV5 monde » et pour RSF »-reporter sans frontières »), avait écopé en première instance, d’une peine de (4) ans de prison ferme et d’une amende de (50.000 dinars,environ 330 euros).
-Son seul crime est d’avoir couvert les manifestations du (« Hirak ») en « Algérie » en toute transparence et indépendance.Il a été emprisonné le (29 Mars dernier) accusé par les autorités algériennes d’incitation à attroupement non armé et d’atteinte à l’unité nationale.Cette condamnation a soulevé la réprobation des associations de défense des droits humains et celles des associations de journalistes.

-Nous osons croire que la justice algérienne se ressaisisse et accorde la liberté sans condition au journaliste « Khaled Drareni ».Sa place n’est pas en prison mais parmi les siens.Le journalisme n’est pas un crime.

-Mieux, selon la déontologie journalistique et les normes d’éthique, tout journaliste professionnel a le droit d’informer, en s’adossant à des informations fiables et objectives.Mais malencontreusement en Afrique , ce métier noble, (4ème) pouvoir dans la hiérarchie des pouvoirs est devenu quasiment suicidaire!Combien de journalistes ont été tués ou emprisonnés en afrique noire subsaharienne depuis (2011),notamment en Côte d’ivoire?