-(Analyse)-« Par Yves T BOUAZO »-« photo »: »Bob marley and the wailers ».
-A quelque chose, malheur est bon pour les justes, comme nous l’avons soulogné dans le récent dossier inhérent au duo incontournable de la musique populauire urbaine ivoirienne (Yodé et Siro):Mieux, une interpellation puis une garde à vue à « Abidjan », capitale économique ivoirienne qui a fait une publicité d’enfer à ce talentueux du du zouglou ivoirien dans les médias occidentaux!
-Nous égrenons notre chapelet de réminiscences inhérentes aux rapports entre « Bob MARLEY » et « Lee perry » à la fin des années (60) à « Kingston » en « Jamaique »!
-(Rappel des faits):
-En (1963), « Bob Marley » est approché par un producteur véreux qui l’aide à enregister le tube intitulé (« judge not ») qui rapporta à l’artiste quelques dollars!Cela n’a pas entamé la soif de vaincre du jeune « Bob marley »!Quelques temps plus tard, il enregistre le hit (‘simmer down »), son premier succès reggae puis est approché par un (« crazy rata ») (Lee pery) qui avait un studio d’enregistrement de quelques pistes, à « Kingston », la capitale jamaicaine, à l’époque des faits!
-« Bob marley » et « Lee perry » enregistrent plusieurs titres dans une synergie artistique mais à la grande surprise de « Bob marley », « Lee Perry » le gruge et met le cap sur « l’angleterre » à « Londres »!Il rencontre un producteur du nom De « CHRIS bLACKWEELL » à qui il fait écouter les maquettes de sa collaboration musicale avec « Bob marley »!
-Au final, le producteur « Chris Blackwell » est plutôt émerveillé par le timbre vocal du jeune « Bob marley » qu’il recherche et qu’il finit par produire musicalement parlant via le tube (« catch a fire ») en (1973):C’est la genèse de la légende du reggae!
-A lire cette belle leçon de morale spirituelle entre les lignes!