-« Par la Rédaction ».(Photo): »le duel politique « Laurent Gbagbo »-« Jacques Chirac.(2002-20057).
-Nous vous faisons partager les idées forces de l’ouvrage du chef d’état des armées francaises (CEMA) en (2002), »Henri Bentégeat » dans lequel il donne des informations perspicaces sur son action militaire stratégique personnelle pour sauver le régime ivoirien dirigé par « Laurent Gbagbo » en déroute en (octobre 2002)!
-(Rappel des faits):
-« Le 19 Septembre 2002 », un coup d’état manqué se métamorphose en rébellion puis martyrise, pille, viole, égorge la Côte d’ivoire:Les poches de rébellion se cristallisent dans la deuxième ville importante ivoirienne située dans le centre ivoirien (Bouaké) et dans les principales villes du Nord telles que « Korhogo ».
-Le général « Henri Bentégeat » récemment interrogé à Paris sur la radio protestante française (« Notre dame »)(100.7fm) affirme ceci sans ambages:
-(« L’armée ivoirienne était en déroute,pis il n’y avait aucune résistance militaire farouche.Notre angoisse à « Paris » était de voir les rebelles rallier la capitale économique ivoirienne (Abidjan), où vivaient environ (20.000) ressortissants français qu’il fallait absolument protéger!Il fallait faire vite, agir en urgence pour contrecarrer l’assaut final des rebelles ivoiriens.
-J’insiste auprès du président « Jacques Chirac » et du ministre des affaires étrangères « Dominique Villepin », à l’époque des faits, pour la tenue d’un conseil de défense urgent:En (Octobre 2002), l’armée française est déployée entre « YAMOUSSOUKRO » , la capitale politique et administrative et la ville de « Bouaké »:C’est le soulagement car la l’ardeur de rebelles qui avaient le vent en poupe est contenue!
-(« Au final, il ne faut pas faire abstraction de la réalité cruciale selon laquelle les rebelles qui ont attaqué la Côte d’ivoire le 19 septembre 2002, ont bénéficié de la complicité passive du « Burkina faso » et son chef d’état « Blaise Compaoré », actuellement en exil en Côte d’ivoire, mieux naturalisé de façon expéditive…
-Aujourdhu au « Burkina faso », environ « 1 million » de citoyens burkinabés sont devenus exilés contre leur gré, dans leur propre pays, fort d’assauts « djihadistes » permanents, pis c’est sans aucun doute un jugement dernier qui ne dit pas son nom, effet boomerang… A lire entre les lignes!