-« Par Antoine Hervé »(« DP-Afrique Agriculture-Paris »).(PHOTO):Fèves du cacao ivoirien.
-A cause du virus (« covid-19 »), le nombre de personnes en crise alimentaire pourrat passer de (« 17 à 50 millions ») en Afrique de l’ouest, selon la (CEDEAO),(communauté économique de l’afrique de l’ouest).
-En Afrique de l’ouest, les populations accèdent difficilement aux marchés alimentaires à cause du confinement et de la fermeture des frontières.Cela entraine un »e hausse des prix et une baisse de la disponibilité de ceetaines denrées.En quelques jours, le sac de (100kgs) de mil est passé de « 16000 francs cfa » à « 19000 francs cfa » et le litre d’huile de cuisine a presque doublé, explique « Amadou Amadoun Dicko », préident de l’assciation pour la promotion de l’élévage au sahel et en savane(Apess).Pour les éleveurs, le prix du sac de tourteau de coton destiné à nourir les animaux a ausi augmpenté.
-Dans les pays déjà confrontés à des crises humanitaires, l’accès à la nourriture est devenu encore plus difficile.Au « Burkina faso » ou au « Niger », l’aide humanitaire ne parvient plus à couvrir les besoins.Les disositifs d’urgence sont plus vitaux que jamais », écrivent dans un comuniqué commun, (« Action contre la faim,Apess,Care, Oxfam, Réseau Bilital Marobé(RBM),Roppa, Soidarités international, Save the children »…
-(« ENCOURAGER LE LOCAL »)!
-De leur côté, les agricuteurs accèdent difficilement aux semences et aux engrais.Dommage, car l’agriculture contribue à (30%) de l’économie de l’afrique de l’ouest.Elle est même la principale source de revenus pour plus de 70% de la population.Nous avons perdu 75% de notre marché à cause du confinement de la ville de Bobo Dioulasso, déplore Toe Hazara, de la laiterie Café rio au Burkina faso.Cette situation est intenable car on ne peut plus supporter les c harges de nos employés et payer nos fournisseurs.