(FRANCE-SOCIETE):(« LE MINISTRE DE LA SOLIDARITE ET DE LA SANTE A « COEUR OUVERT »!(4èmeP

agnès

-(« Ce (100%) santé vat-il pénaliser les plus vulnérables, ceux qui ont une mutuelle de solidarité(CMU-C,ASC) ou qui n’ont pas de mutuelle tout court?(AB):(« Le (100%) santé ne pénalise personne.Tout le monde y aura droit.Ce serait aller à contre courant de la vérité et de la philosophie de cette réforme que de ne pas respecter cela.La Politique de santé n’a de sens à mes yeux que si elle solidaire et qu’elle lutte activement contre les inégalités.C’est précisement parce qu’on avait à l’esprit les difficutés   de beaucoup des personnes, les plus vulnérables à financer certains soins et équipements que nous avons mis en place cette réforme.-(« Peut-on garantir que le panier de soin sera de qualité)?(« AB):(« Nous avons pris des engagements pour que les produits proposés soient de qualité;Ils le sont.Ils répondent de façon médicalement pertinente aux besoins de santé et à l’attente esthétique des Français.Par exemple, les verres proposés par les lunettes des personnes très myopes sont amincis et le choix pour une monture de lunettes varié, de sorte que chacun puisse trouver un produit qui lui correspond.De plus, les offres proposées sont amenées à progresser pour s’adapter aux évolutions techniques et aux besoins de santé des Français.Les choix relevant de considérations plus personnelles seront quant à eux assumés par l’assuré.Les personnes qui le souhaitent pourront faire le choix d’une autre prestation.La liberté de choisir des patients et de proposer des professionnels sont naturellement maintenues.(« Vous avez parlé de la complexité des problèmes qu’il faut poser sur la table.L’hôpital en rencontre beaucoup comme le prouve le malaise de certains personnels-Qu’allez-vous faire pour y répondre?(« BB):(« Le problème aujourdhui est qu’il ya un manque d’organisation et de coordination entre les soins pratiques en ville et les hôpitaux, ce qui pèse lourdement sur la capacité des patients à accéder à des soins du quotidien.Cela se ressent particulièrement dans les services d’urgence qui reçoivent des patients pour des motifs sans gravité lorsque les cabinets médicaux sont fermés ou lorsque les patients ont besoin rapidement d’examens complémentaires or il est aujourdhui difficile d’avoir accès à ces moyens s’il n’ya pas une organisation préalable de professionnels de santé concernés.Ces difficultés sont bien évidemment aggravées dans certaines régions par un phénomène de désertification médicale.La seule façon d’aider l’hôpital est donc de repenser notre système de santé dans son ensemble, en faisant emerger des projets adaptés aux besoins locaux.(-« Avec la Collaboration étroite du Service de Communication » (En Marche)-(4ème Partie » de « L’interview du Ministre de la Solidarité et de la santé-(Agnès Buzyn)