-« Editorial de Yves T Bouazo, Directeur de la Publication ». « Photo »:le ministre Jean- louis Billon lors de sa rencontre avec la diaspora à Paris le 21 Décembre dernier(…)- Plus de 6 décennies après le soleil des indépendances qui a brillé sur l’afrique, à partir des années 1960, l’afrique est à une étape charnière de son histoire: Elle doit prendre son destin en main, en s’inscrivant dans un changement générationnel en politique , surtout pour les intérêts majeurs de sa jeunesse dynamique qui est malencontreusement marginalisée!C’est notre approche et nous l’assumons depuis quelques années.En Côte d’ivoire, le candidat crédible et naturel, membre de la nouvelle classe politique est le ministre Jean- Louis Billon qui ne traine pas de casseroles en Côte d’ivoire.Mieux, il est viscéralement attaché à la Côte d’ivoire, en étant un opérateur économique qui a déja contribué au PIB ivoirien, via des milliers emplois créés pour la jeunesse ivoirienne.Dans cette impasse au PDCI, il est plus en osmose avec les réalités sociales ivoiriennes comparativement au boss du PDCI, Tidjane Thiam qui a passé quasiment 23 ans hors de la Côte d’ivoire, après avoir pris la clé des champs, suite au coup d’état du général Guei, le 24 Décembre 1999.Notons que Thiam n’est pas au fait des réalités ivoiriennes mieux il lui faut du temps pour s’abreuver à la source de la paupérisation des couches populaires ivoiriennes.Aux dernières nouvelles, Tidjane Thiam aurait obtenu avec une célérité la renonciation à la nationalité française à Paris et qu’il resterait la publication au journal officiel en France.Ce qui continue de nous interpeller!Thiam est- il le candidat du clientélisme « françafricain » dans lequel intérêts français et africains continuent de s’interférer?Mieux, est- ce le nouveau candidat de l’étranger donc de la finance internationale?Des questions qui nous taraudent…
Editorial:Notre aspiration à une nouvelle classe politique ivoirienne!
