-« Editorial du Directeur de la Publication et de la Rédaction », Yves T Bouazo. »Photo »:Pulchérie Gbalet, fer de lance de la société civile ivoirienne depuis quelques années en Côte D’ivoire.
-Depuis le soleil des indépendances qui a brillé sur l’Afrique en 1960,notre constat est perspicace:L’ancienne classe politique a lamentablement échoué dans sa grande majorité!Il incombe donc aujourd’hui à la société civile panafricaine de prendre ses responsabilités,en mutualisant ses forces.
-En Côte D’ivoire,une femme dynamique,constante et impassible,membre de l’intelligentsia ivoirienne,sociologue de formation est l’épine dorsale de la société civile depuis quelques années, dans un pays où il n’y a plus de contre-pouvoir car l’opposition ivoirienne est depuis des lustres dans une résignation métamorphosée en torpeur…Quant aux élus de l’hémicycle ivoirien,ils ont quasiment cédé aux sirènes de la langue de bois,à part quelques exceptions à la règle.Du coup,les masses populaires ivoiriennes sont devenues orphélines, en tirant le diable par la queue.
-« Qui est Pulchérie Gbalet »?
-Universitaire et Sociologue de formation,la nouvelle « Marie Koré » ivoirienne du nom de celle qui a conduit la marche historique des Femmes ivoiriennes sur la prison coloniale de Grand Bassam en 1949,s’est d’abord signalée courageusement avec un engagement sans précédent ,en s’opposant farouchement au 3ème mandat de l’actuel chef de l’état Allassane Ouattara via « Alternative citoyenne ».Notons qu’elle est aujourdhui active sur tous les tableaux sociaux et a pris à bras-le- corps la défense des habitants expulsés,lors de récentes opérations de déguerpissement ,dans la capitale économique ivoirienne,Abidjan.Désormais, »Pulchérie Gbalet » lorgne vers un autre combat noble ,celui d’avoir des représentants dans l’hémicycle ivoirien.
-« Si nos élus ont capitulé,il revient donc à la société civile responsable,régalienne et résiliente de se saigner à blanc pour le peuple. »Vox populi,Vox Dei »,(le pouvoir du peuple par le peuple),nous confie-t-elle!
-Au final,la ressortissante de la ville ivoirienne de « Daloa »,dans le centre-ouest ivoirien, n’a qu’un seul challenge majeur à relever notamment la réconciliation des coeurs en Côte d’ivoire,dans un pays où joutes politiques s’assimilent bien souvent à des conflits fratricides meurtriers…
-Sera-t-elle écoutée?Là,c’est une autre paire de manches…