-« Par YVES T BOUAZO ».(Photo): »Marien N’gouabi », président du Congo-Brazzaville assassiné le « 18 Mars 1977 » à l’âge de 39 ans.
-Le « 18 Mars 1977 », était assassiné un jeune fougueux révolutionnaire africain nommé « Marien N’gouabi » à l’âge de (39 ans), officier parachutiste formé au début des années (60) à l’école militaire française de notoriété « Saint-CYR » dans le département français des Yvelines(78)!Notons que dans ce coup d’état sanguinaire, « Marien N’gouabi » en bon militaire est mort l’arme à la main, après avoir abattu (2) membres du commando, mieux selon d’autres sources concordantes, son fils âgé de (14 ans) présent lors des échanges de feu aurait aussi abattu l’un des assaillants, une bravoure sans précédent d’un adolescent de sang « bantou » africain!
-Voici ce que certaines mauvaises voix lui reprochaient après sa prise de pouvoir en (1968) au « Congo-Brazzaville », pays de l’Afrique centrale, « 4ème » producteur africain de pétrole.
-Selon les affirmations du général « N’gouélondelé Mongo Emmanuel » dans son ouvrage intitulé :(« Au service du Congo »):
(« -Le pays avait des problèmes économiques.Le président « Marien N’gouabi » avait trop d’ennemis autour de lui.Des ennemis qui le combattaient et ne lui disaient pas toujours ce qu’il fallait lui dire. »Marien N’gouabi »(SAINT CYRIEN) avait gouverné le « Congo-Brazzaville » comme un militaire comme un militaire qui se trouvait dans une bataille permanente.Son option idéologique(de gauche) ne facilitait pas les choses sur le plan économique.Les pays capitalistes étaient malgré tout indispensables sur les plans monétaires, financiers et économiques; Or les rapports n’étaient pas bons avec ces pays.
-A quelques jours de son assassinat, il envoie une mission en « France » pour l’amélioration des rapports entre le Congo-Brazzaville » et la « France », ex puissance coloniale.Celle-ci n’est pas terminée qu’il est assassiné!Pendant son règne, il a été victime de (3) coups d’état, celui de « Ange Diawara » en (1970) et « Kinganga » en (1972) avortés.
-LE « 18 Mars 1977 », le coup d’état guidé par l’officier « Kikadidi » via un commando lourdement armé aura eu raison de lui!Ce dernier s’échappe et sera rattrapé quelques temps plus tard dans sa cachette de la ville de « Brazzaville », la capitale de la république populaire du Congo, ancienne colonie française, où « SASSOU N’GUESSO » se représente après 36 ans au pouvoir pour un « 4ème » mandat ce DIMANCHE 21 MARS 2021..
-La répétition est une vertu pédagogique:Sera-t-il rattrapé par l’usure du pouvoir voire l’ivresse du pouvoir?