-« Une Analyse de Désirée Appia » dans (« Afrique Agriculture »)(premier magazine français d’information sur l’agriculture,l’élévage la pêche et la forêt en Afrique).(« Le surtitre et la conclusion » dans le dernier paragraphe sont de la « Rédaction » (Médias Miroir).(« Photo »): »Fèves du cacao ivoirien ».
-Véritable levier économique de la Côte d’ivoire, l’agriculture ne s’en porte pas mieux pour autant.L’on pourrait à cet effet égrener un long chapelet de difficultés:la fluctuation des prix bords champs des principales cultures d’exportation,les changements climatiques, l’analphabétisme des producteurs…Ces difficutés ne sont point méconnues des différents acteurs de la chaîne.L’on pourrait alors se demander ce qui est mis en oeuvre pour faire changer les choses?L’état de son côté fait de efforts qui doivent être salués à leur juste valeur.Mais que pourrions-nous faire de plus pour voir ce seteur fleurir comme dans les années (1980), où l’on parlait de miracle ivoirien?Cela ne sera possible que si chaque ivoirien, chaque habitant de ce pays s’investit à son humble niveau.
-Chacun de nous doit se poser la question suivante:Qu’est-ce-que je peux faire pour que le secteur de l’agriculture fleurisse à nouveau?
-N’oublions pas qu’une agricuture florissante, c’est le niveau de vie des producteurs qui s’en trouve rehaussé, c’est la pauvreté qui recule, ce sont le infrastructures, le développement qui s’installent.De plus,si ce secteur à fière allure, il pourrait attirer de plus en plus de jeunes et faire baisser le taux de chômage en Côte d’ivoire.En y regardant de plus près, l’on pourrait trouver les alternatives pour les différents problèmes qui surviennent après récolte.Les bienfaits d’une agriculture florissante sont bénéfiques autant pour chacun de nous que pour notre pays.
Un fait indiscutable, notre pays est une terre fertile pour l’agriculture.Et celle-ci a déjà fait ses preuves.Alors, mettons-nous en marche pour faire feurir l’agriculture en Côte d’ivoire.
-(« Mais malencontreusement, la Côte d’ivoire, premier producteur mondial de cacao depuis (5) décennies, est toujours prise au propre piège de ses contradictions, en n’ayant pas pu transformer en (5) décennies son « cacao » en « tablettes de chocolat »(label ivoirien) et en « suppositoire-enfants » (pharmacie), afin de créer de la valeur ajoutée nécéssaire à son économie et de l’emploi!Mieux, une industrie choclatière doublée d’une industrie pharmaceutique (« suppositoires-enfants ») pourrait créer environ (1 milion d’emplois) en Côte d’ivoire, selon certains économistes panafricains!Au final, il manque toujours une volonté politique et un engagement visionnaire à nos leaders ivoiriens en (2020)!