-« Analyse »-« Par Yves T Bouazo ». »Photo »:Fèves de cacao ivoirien.
-Nos différentes chroniques et analyses de fond dans « Afrique Agriculture », le bi-mensuel français de l’agriculture, de l’élévage et de la pêche ne sont pas tombées dans des oreilles de sourds,mieux le père de la nation ivoirienne « Félix « Houphouet boigny en tant que visionnaire avait fait cette profession de foi en ses propres termes dans les années 80:(« Je me suis battu pour l’indépendance politique mais la vraie indépendance qui est économique, c’est vous la jeunesse ivoirienne qui allez l’achever, en transformant nos matières premières en produit fini »)(dixit)
-Quasiment (4) décennies plus tard,la Cote d’ivoire est toujours p̂rise au piège de ses propres contradictions, car la valeur ajoutée du « cacao » ivoirien ne profite qu’aux spéculateurs internationaux,pis elle ne reçoit que des miettes entre (5 et 10%) en termes de valeur ajoutée, car les multinationales du chocolat continuent de se tailler la part du lion à l’international en (2021).
-Mais, il ya une lueur d’espoir avec à l’avenant la construction dans la capitale économique ivoirienne (Abidjan) de la de la première usine de transformation du « cacao » en produit fini avec des capitaux ivoiriens et des ressources , humaines ivoiriennes, mieux le cacao dont la Cote d’ivoire est l̂e premier producteur mondial depuis (1967)!La bataille de la part de marché dans le chocolat sera certainement féroce à l’international et c’est une autre paire de manches!
-Au final, nous saluons à sa juste valeur cette volonté manifeste actuelle d’industrialisation ivoirienne.