(« ALERTE INFO-GABON »):(« LES DESSOUS D’UN COUP D’ETAT SALUTAIRE »)!!!

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-(Par la Rédaction)-(« Image »):(« Bongo-fils »-ex président du (Gabon) traité dans l’avion qui le transférait au (Maroc) il ya un Mois)-(..)-Le (Gabon), pays très riche en ressources minières  vient de connaire son premier coup d’état officiel, sinon dans les années (60) , c’était  dans un autre cas de figure semblable, un autre coup d’état subtile qui ne disait pas son nom, lorsque le président gabonais, à l’époque des faits, (Léon Mba) souffrant, avait été transféré d’urgence à (Paris)!La suite , on la connait depuis des lustres:Pendant qu’il agonisait les sbires du clientélisme néo colonial  de la (« Françafrique) se sont occupés de lui, en choisissant son successeur (Bongo odimba-père)(ex chef des services secrets du (Gabon):Mieux ,il était à l’époque des faits un gage pour l’ex puissance colonisatrice, concernant la protection de ses énormes intérêts français(Pétrole,maganèse) dans l’ancien pré-carré français, dans l’approche « gaulliste » réaliste:Notons que (Le Gabon) était peuplé, à l’époque des faits d’environ (600.000 habitants) sur un vaste territoire qui est un scandale géologique, au même titre que la (Guinée de Sékou Touré) et (Le Congo de Patrice Lumumba)!Ironie du sort, la dynastie (Bongo) sera encore imposée aux (Gabonais) avec la complicité passive de (Sarkozy) en (2008-2009):Le véritable vainqueur a été lui à son tour éliminé physiquement, via un empoisonnement avec la conspiration des services secrets gabonais, selon des sources dignes de foi, quelques mois plus tard….Au final ,les mêmes causes entraînant les mêmes effets, (Bongo -fils) a affronté (Jean-Ping) il ya quelques années dans une confrontation présidentielle émaillée  malencontreusement d’irrégularités massives:Pis, la victime expiatoire d’une mascarade électorale inédite: Pour lui et ses partisans ,le jour de sa réhabilitation politique semble avoir sonné aujourdhui!Justice doit être donc faite pour (Jean Ping), véritable vainqueur des élections présidentielles passées,  il faut rendre à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à (Dieu)!